Hydroxychloroquine : l’histoire que ça ne fonctionne pas est le plus grand canular de l’histoire humaine récente
Pour ceux touchés par la pandémie, ou qui ont peur de mourir, de perdre leur famille ou leurs amis, je tiens à vous informer : je suis porteur de bonnes nouvelles. Publié le 05/08/2020 à 16:02 - Mise à jour à 21:33
 
 
 
 
« Je ne connais ni Trump ni Bolsonaro », a déclaré  Didier Raoult, professeur de maladies infectieuses à l’IHU-Marseille, le 24 juin, lors de son audition devant la commission d’enquête parlementaire française.
 
Là, j’ai vu que le Professeur avait déjà compris la situation et ceux qui étaient responsable de cette vague qui l’a malmenée.
 
Cette vague, l’a mis, par hasard, comme une pièce importante au centre de l’échiquier du conflit géopolitique le plus féroce depuis la fin de l’Union soviétique.
 
En plus de sa déclaration de ne pas connaître Trump ou Bolsonaro, assez amusant en soi, car Raoult a essayé de prendre ses distances avec ces deux dirigeants, l’infectiologue a rapporté des choses importantes :il a subi des menaces de mort peu de temps après avoir proposé le traitement COVID-19 avec de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine, deux médicaments bon marché et génériques.
 
Le médecin à l’origine des menaces a été retrouvé. Il est de l’hôpital universitaire de Nantes.
 
Paradoxalement, au cours des 6 dernières années, il a été la personne qui a reçu le plus d’argent de Gilead, une grande société pharmaceutique.
 
Ici, j’essaie de mettre en place, pièce par pièce, le puzzle de ce que je considère comme la plus grande farce de l’histoire moderne. Du coup je me suis plus occupé à construire un argumentaire complet qu’un document court. Il comprend des analyses, y compris les nouvelles, de différents points de vue.
 
Cet article parle de science, de guérison, de politique, de géopolitique, de psychologie de masse et de groupe. Avec le scénario établi, il n’est pas difficile de prédire les bonnes et les mauvaises choses qui se produiront dans les mois et les années à venir.
 
 
 
Tout au long de cet article, le lecteur découvrira la chose la plus importante : les circonstances dans lesquelles cette histoire viciée a été mise en place. Le lecteur sera également invité, en lui-même, à conclure si le traitement proposé par Didier Raout fonctionne ou non.
 
Et vous comprendrez également comment la majorité de la classe scientifique Nord Américaine, d’Amérique latine et d’Europe, régions du monde sous forte influence des États-Unis, ont été dirigées vers une erreur incroyablement grossière.
 
En plus des faits et des chiffres, qui sont accompagnés de liens externes, tout ce que j’écris sont mes propres opinions, basées sur les faits. C’est mon point de vue et la façon dont je vois le monde qui devient complètement fou devant nos yeux.
 
Je n’ai pas peur de le signer lors de sa publication, même si je sais que de nombreux scientifiques brésiliens restent contre l’usage de ces médicaments et répètent qu’il n’y a « aucune preuve scientifique » de son bon fonctionnement.
 
 
 
Une chose attirera l’attention j’en suis sûr : le simple fait que je doive donner des exemples avec une logique incroyablement basique, comme si je parlais aux enfants, pour expliquer les faits. C’est nécessaire. La farce est allée si loin que j’ai besoin de nombreux exemples et analogies pour ramener à la raison.
 
J’ai signé ce document de mon nom, afin que l’on puisse me trouver aujourd’hui ou à l’avenir, si mes analyses s’avèrent incorrectes. Après tout, ce n’est pas une revendication simple ou légère. 
 
Des nouvelles d’un grand nombre de morts sont arrivées de Chine et d’Europe, de villes entières bloquées, avec des personnes en confinement, empêchant la transmission du coronavirus.  Pendant ce temps-là, le carnaval a eu lieu, au bout de ma rue, à Atibaia, à l’intérieur de São Paulo, à 60 km de la capitale de l’État.
 
Pendant quatre jours, j’ai entendu de la musique forte par ma fenêtre. Je ne suis pas allé à la fête, ce que je fais chaque année. Le mot « attroupement » m’avait déjà dérangé.
 
C’était à la fin du mois de février, juste avant que l’OMS : l’Organisation mondiale de la santé, déclare que nous étions dans une pandémie mondiale aux proportions apocalyptiques.
 
J’ai préféré aller de l’avant et suivre les conseils des scientifiques avant les décisions du gouvernement. J’ai été le premier de la ville à adhérer au confinement volontaire.
 
Quelques jours plus tard, je suis toujours allé dans un bar. Je pensais que le risque était faible. Dans les environnements aérés, le risque est moindre. Je n’y suis pas retourné depuis. C’était un bar ouvert, quelque chose de normal dans notre climat tropical, où la moitié des gens sont dans la rue et l’autre moitié à l’intérieur de l’établissement.
 
C’était le pot de départ d’un ami musicien. Samba et jazz étaient au répertoire. Il avait été engagé à bord d’un navire de tourisme en Australie, comme une des têtes d’affiche. Cet ami était content de partir. Je ne voulais pas le décourager, mais il était étrange que nos proches gardent toujours confiance, jusqu’à ce jour, et que de nouveaux voyages prennet place, même avec l’affaire du Diamond Princess, au large des côtes du Japon.
 
Je ne serrais plus les mains pour saluer qui que ce soit. Je fuyais mes contacts proches, je restais toujours dehors et je me lavais constamment les mains. Ils ont ri et l’ont trouvé étrange. Certains m’ont traité de paranoïaque.
 
J’ai vite fait une mauvaise prédiction : que tous les bars seraient vides et fermés dans un court laps de temps. J’ai décidé de ne plus partir. Je ne voulais pas être dérangé par la foule. Je ne voulais pas que l’on se moque non plus. Nos gouvernements d’État et municipaux n’avaient pas encore pris de mesures contre le virus.
 
À la maison, il y avait de quoi lire, suivre les nouvelles et les publications scientifiques qui ont commencé à apparaître fréquemment. Quand je m’intéresse à un sujet, j’ai pour habitude d’approfondir le sujet et de lire les études, que je sois en bonne santé ou pas. Je n’aime pas être témoin passif d’une information ou une autre, couverte superficiellement dans les médias de masse.
 
Mon engouement pour la recherche médicale et lire des articles médicaux m’était venu quelques années auparavant. En 2016, je me suis cassé un os dans un accident. J’ai passé pratiquement trois mois allongé, avec peu de mobilité, sans boire d’alcool, et avec un IPAD à la main ; j’ai donc lu toutes les études sur ma récupération ; A tel point qu’un professeur orthopédiste dans une importante école de médecine, a écrit sur un blog qu’il n’avait jamais vu un patient en savoir autant sur son problème. « Celui-ci a étudié plus que mes étudiants », a-t-il plaisanté avec un ami.
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